NAISSANCE

Mon fils est venu au monde un jeudi,c'était le 16 decembre à 14h,c'était vraiment un accouchement très dur,j'ai souffert de la douleur des contractions qui était trop forte,mais j'ai accouché par césarienne parce que à un moment son coeur a cessé de battre,c'était vraiment une journée très éprouvante,l'anesthesie n'avait pas encore pris qu'on m'avait déjà ouvert le ventre pour ne pas perdre le temps,pour que mon fils vive;pour lui j'ai supporté cette douleur atroce,je me disais que le pire serait derrière nous.je pnsais que tout allait bien se passer,mais non,tout s'est mal passé;on l'a directement emmené à la salla de réanimation,c'est la que les medecin ont decouvert qu'il y avait beaucoup d'anomalie non detectées à l'echographie,mon fils était vraimnt malade,il était fortement malformé,il n'avait même pas de traché respiratoir,ni de pallet mou,sa colone vertebrale était vraiment très mal mis,je ne pourrai en dire plus parce que j'ai déjà les larmes aux yeux,bref,mon fils ne pourrait ni manger normalement ,ni s'asseoir,ni parler,ni manger,il srait comme une épave et les medecins ne pouvaient rien faire pour lui.Je me suis demandée si d'autres personne sur cette terre avaient vecu autant de malheur comme moi je l'ai vecu,parce que ce n'était que succession de problèmes pour moi et mon mari à croire que le mond entier s'acharnait sur nous.on était vraiment mal,rien n'allait,là je suis en colère qu'un telle situation me soit tombée sur la tête,j'ai une cololère très forte au dedans de moi,je suis mal.
A un moment donné,je me suis dit que j'aurai preferé qu'il reste pour toujours dans mon ventre puisque là au moins il était bien,ses malformations ne le feraient pas souffrir,que je le garderais encore avec moi,mon ventre était une sécurité pour mon bébé.je m'n suis voulu d'avoir accepter cette cesarienne puisque il souffait maintenant et je ne pouvais rien faire qu'attendre un miracle.
il respirait a l'aide d'une machine,c'était vraiment dur à voir,il avait plein de tuyau qui entraient et sortaient de sa bouche et de son nez,ses yeux étaient vraiment gonflés,il avait surement beaucoup pleurer,il dormait mais je voyais que mon fils souffrait,je n'avais pas à me plaindre malgré ma douleur puisque sa doulur à lui me semblait bien plus forte,j'aurai tant voulu souffrir à sa place,mais non c'était mon fils qui souffrait il était mal,il ne comprenait pas cette douleur qu'il ressentait,je n pouvais même pas être là cette nuit là à veiller sur lui,parce qu'il était en soins intensifs,et moi je devais me reposait après la journée que j'ai passé pour que ma plaie ne souffre pas trop.

Cette nuit là,comme les autres d'ailleurs,je n'ai pas dormi,je n'ai fait que pleuré,je ne voulais même pas penser à une éventuel mort de mon fils,je me disais que sa mort me rendrait folle,je ne supporterais pas ça,je priais que tout aille bien pour mon fils,franchement si ily avait eu un moyen de retourner la situation,j'aurai accepté de prndr tous ses maux.Son coeur était opérable mais le reste pas.Tout les medecins nous avaient fait comprendre qu'ils ne pouvaient rien pour lui,que notre enfant ne vivrait,c'était impossible que notre enfant vive,ils souhaitaient d'ailleurs qu'on le laisse partir au lieu de le laisser brancher à ces machines,mais pour nous il n'en était pas question, c'est comme si on nous demandait de tuer notre enfant et ça rien que d'y penser on refusait leur suggestion,on ne voulait surtout pas ls laisser fair parce que on esperait un miracle,on esperait que ça changerait,que tout redeviendrait normal,en fait on ne realisait pas vraiment que notre fils ne pouvait pas vivre que,que sa vie serait un enfer sinon.Je ne souhaite à personne de vivre ce que j'ai vecu,même pas mon pir ennemi parc que c'est vraiment qulque chos qui nous detruit pour toujours,je ne pense pas qu'on peut completement se remettre après une situation aussi difficile que la notre,mais on continue de vivre et on fait avec,on avance,on passe à autr chose mais en y pensant tout les jours de sa vie,en se posant toujours des questions avec plein de "si"